Dr Laure Menguene, psychiatre, sous-directeur de la santé mentale et présidente du comité d’organisation de la prise en charge des PAMME à l’hôpital Jamot de Yaoundé.
Le journal donne une plus grande visibilité aux professionnels de la santé et aux initiatives publiques en matière de santé. Il met en lumière leur travail, leurs réussites et les défis qu’ils rencontrent. La sous-direction de la santé mentale travaille avec Echos-Santé depuis 3 à 4 ans. De cette collaboration, nous sommes totalement satisfaits. Echos-Santé est l’un des rares journaux au Cameroun qui fait la promotion de la santé. Pour nous, c’est quelque chose de fantastique, parce que la santé mentale est l’un des parents pauvres de la santé au Cameroun. Elle est une psychiatre camerounaise reconnue pour son expertise et son engagement dans le domaine de la santé mentale. Elle est particulièrement connue pour son travail au sein du « Village de l’Amour », un programme visant à réintégrer les personnes atteintes de maladies mentales dans leur communauté. Quand je parle de parent pauvre, je parle en termes de visibilité et de financement. Quand je vois un journal comme Echos-Santé, qui s’emploie au quotidien à donner de la visibilité à cette spécialité, nous disons grand merci à Echos-Santé et à toute son équipe. Je souhaite que cette collaboration soit pérenne pour le bien-être des populations.
Echos-santé est une très belle initiative qui rassemble tous les professionnels de la santé. Echos-santé est un journal très lu et très suivi. Ce journal déclenche des passions dans la grande famille de la santé au Cameroun. Je félicite et encourage les efforts du directeur de publication, parce que, nous savons que ce n’est pas facile, surtout au Cameroun.
Propos recueillis Elvis Nsaa
