Adamaoua: Les réalisations du président Paul Biya au plan sanitaire saluées.

A quelques heures de la projection du film Paul Biya : un grand homme d’État au destin prodigieux, les populations reconnaissent les réalisations sur le plan de la santé offertes aux habitants de la région. Sur l’ensemble des départements, elles reconnaissent les largesses du président de la république en leurs faveurs.

Image de la dernière réunion préparatoire à la projection du film. Réunion présidée par le gouverneur de l’Adamaoua

“Les réalisations du président de la République Son Excellence Paul Biya en notre faveur sont loin d’être exhaustives. Sous Paul Biya, notre carte sanitaire a connu un bond en avant. Nous avons bénéficié de 16 centres de santé créés, construits, équipés et ouverts dans le département du Mbéré“. Ces exaltations des oeuvres du Président Paul Biya pour les populations du département du Mbéré par le maire de Meiganga Aboubakar Kombo traduisent les efforts fournis par l’homme du Renouveau en leur faveur. Aussi, ajoute-t-il ” Le président de la République nous a doté d’un hôpital régional annexe avec tous les équipements et les spécialistes sans oublier la couverture santé universelle, chèque santé qui permettent aux plus démunis d’être pris en charge à moindres coûts“. Comme lui, les populations de la région dans leur ensemble, saluent l’attention accordée à cette région depuis son détachement de l’ancienne province du Nord qui regroupait les actuelles régions du Nord, de l’Extrême-Nord et de l’Adamaoua.

Au cours des 5 dernières années, la région a connu un boom en matière de construction, de création et d’équipements des formations sanitaires. A titre d’illustration, la région compte à ce jour 4 hôpitaux régionaux, Ngaoundéré, Meiganga, Banyo et Tibati, sans oublier le Centre Hospitalier Régional qui fait déjà le bonheur des populations qui y sont prises en charge. Que dire du Centre d’Hémodialyse de l’Hôpital Régional où les responsables s’accordent à dire que c’est le plus grand du pays en termes d’appareils.

Ces réalisations du président Paul Biya permettent aujourd’hui de soulager les souffrances des populations. “Nous ne pouvons que dire Merci à notre président. Avant, nous partions à Garoua ou Yaoundé pour nos séances de dialyse où on n’était pas sûr d’avoir de postes libres, aujourd’hui c’est un triste souvenir ” se réjouit Aboubakar, patient en dialyse au centre de Ngaoundéré.

Pour Kildadi Taguieke Boukar, superviseur général de la commission de projection du film au niveau régional, tout est fin prêt pour que les populations du château vivent ce moment d’envergure nationale.

Sur le terrain, tout est fin prêt et n’attend que l’heure H pour ce rendez-vous tant attendu par plus d’uns. Nos tentatives d’avoir le Dr Mohamadou Dewa, président du comité d’organisation de la projection ont été vaines du fait des réunions en prélude à cet événement.

En attendant l’heure de la diffusion du film prévue pour 15h ce jour, la ville de Ngaoundéré et l’Adamaoua retiennent leurs souffles pour vivre ce moment comme les autres régions où la caravane est déjà passée.

Par Jean Besane Mangam

Réactions

“On ne peut que remercier le chef de l’État pour ses gestes. »

Mohaman Sani, Conseiller Régional, vice président du comité de gestion de l’Hôpital de district de Dang.

On se félicite déjà par l’attention particulière que le chef de l’État a accordée à la région de l’Adamaoua sur toutes ces deux ou trois dernières années. La carte sanitaire a été étoffée. On a eu la transformation des hôpitaux de districts en hôpitaux régionaux annexes. C’est déjà quelque chose de remarquable. En plus de ça, on a eu la construction du CHR, qui est un hôpital de deuxième catégorie. On ne peut que remercier le chef de l’État pour ses gestes. Et maintenant, quand on dit merci, on en demande plus. Nous espérons avoir un jour un hôpital général dans la région de l’Adamaoua. Vu que le climat est favorable, ça va beaucoup aider la population. Ça va nous éviter les évacuations sanitaires vers les régions voisines. Nous voulons aussi dire merci au chef de l’État pour le transfert des compétences transférées aux régions car les régions assurent la direction des hôpitaux de 3è et 4è catégorie.

Propos recueillis par Jean Besane Mangam.

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