Paludisme : Le projet « Équité accès palu » lancé

L’ONG impact santé Afrique  avec l’appui technique de l’initiative expertise France a procédé au lancement dudit projet le 08 décembre 2023 à Yaoundé.

Le Cameroun fait partie des 11 pays les plus touchés par le paludisme. En effet, au cours de l’année 2022, après d’après le programme national de lutte contre le paludisme, il a été rapporté 3 327 381 cas de paludisme, pour  2481 décès . Le plan stratégique national de lutte contre le paludisme, souligne non seulement que la communication devrait mettre un accent particulier sur le rôle que doivent jouer le leader communautaire et la société civile dans la sensibilisation des communautés, mais aussi, que les priorités stratégiques en matière de lutte contre le paludisme doivent permet de garantir un accès équitable et universel, au service, aux soins de santé antipaludique de qualité, avec la pleine participation de la communauté et l’implication des autres secteurs apparentés. L’initiative équité, Accès palu vise à accroître l’implication de la société civile et des communautés dans la mise en œuvre du plan stratégique national de lutte contre le paludisme au Cameroun.     Le plan stratégique nationale de lutte contre le paludisme non seulement que la communication devrais mettre un accent particulier sur le rôle que doivent jouer les leaders  et la société civile dans la sensibilisation des communautés mais aussi, que les priorités stratégiques  en matière de lutte contre le paludisme doivent permettre  de garantir un accès équitable et  universel au service aux soins de santé anti paludisme de qualité, avec la plaine participation de la communauté et l’implication des autres secteurs apparentés. L’initiative équité accès palu vise à accroître l’implication de la société civile  et des communautés dans la mise en œuvre du plan stratégique nationale de lutte contre le paludisme.  En démontrant le changement que l’engagement de la société civile peut apporter.

Équité accès palu

De façon spécifique équité Accès palu , vise à renforcer la task force nationale entre le programme national de lutte contre le paludisme et la société civile et l’utilisation des données sur le paludisme, afin d’ effectuer des analyses conjointes  et d’accroître l’efficacité des stratégies de plaidoyer collective ; contribuer à améliorer l’accès au niveau des agents de santé communautaire, en particulier, pour les les plus vulnérables dans les quatre districts ; démontrer l’efficacité de la société civile à mobiliser et contribuer à rendre l’environnement de la lutte contre le paludisme au Cameroun  Plus inclusif intégrant les problématiques liées au genre pour un meilleur accès et l’utilisation des services paludisme par les groupes vulnérables. Au sortie de la cérémonie de lancement , Olivia Ngou , directrice exécutive d’impact santé Afrique revient sur le but de cette initiative : « en collaboration avec le pnlp et  financé par l’initiative, expertise France Qui est partenaire financier de la France pour soutenir la lutte contre le paludisme au Cameroun, et ce projet vise à renforcer l’engagement communautaire, l’engagement des organisations de la société civiles (osc) dans la lutte contre le paludisme avec une approche  genre pour  s’assurer que  les besoins des populations vulnérables sont pris en compte dans la stratégie nationale de lutte contre le paludisme à tous les niveaux.(…)  Et aussi s’assurer  donc que ces  communauté aient  une meilleure communication et une  meilleure accès aux services de soins contre le paludisme. » et la directeure de rajouter que :

« L’implémentation sur le terrain se fera avec les communautés locales, avec les services du programme national de lutte contre le paludisme, pour s’assurer que les communautés ont un accès au  un accès au service de prévention, de diagnostic et de traitement de lutte contre le paludisme de qualité pour remonter tout problème, tous besoin que les communautés vont rencontrer dans l’accès à ses outils. Par exemple : la bonne utilisation de la moustiquaire imprégnée à long durée d’action, ou alors l’adhésion aux campagnes de chimio prévention du paludisme saisonnier pour l’extrême nord ; et ou alors l’engagement communautaire pour que la communauté s’approprie davantage de cette lutte, Et elle m’aime, mais les moyens nécessaires pour prévenir la maladie, ça serait que le bon message soit transmis aux communautés ».

CS4ME

Le projet qui voit  Le Jour est une des premières missions de l’ONG  impact santé Afrique qui a créé et  mis en place la société civile pour l’élimination du paludisme, la première plate-forme mondiale des organisations de la société civile active dans la lutte contre le paludisme. Ce réseau compte plus de 200 membres d’Afrique et d’Asie du Sud. Le réseau est un appel significatif des organisations de la société civile et des communautés pour transformer la lutte contre le paludisme. Durant ce projet les résultats attendus sont entre autres cartographier les organisations de la société De la société civile de toutes les activités liées au paludisme, afin de comprendre la couverture et les lacunes, la disponibilité et l’utilisation accrue des données du programme national de lutte contre le paludisme et des données générées par les communautés pour éclairer les décisions et les messages de  plaidoyer ; une meilleure compréhension de la chaîne d’approvisionnement de tous les acteurs et des problèmes qui empêche actuellement. Les produits ne parvenait au relais communautaire et surtout l’engagement de tous les acteurs de la chaîne d’approvisionnement pour identifier identifier et mettre en œuvre des solutions, le programme qui est mis en œuvre en en décembre 2023 durera jusqu’en décembre 2026 ; avec pousser la région de l’extrême nord, notamment à Mokolo pour les populations déplacées internes , les personnes difficile à atteindre, les groupes à faible revenu, les femmes enceintes, les enfants de moins de cinq ans dans les zones rurales au frontalière. À Maroua  pour les populations mobile et  difficile à atteindre, groupe à faible revenu, les femmes Enceintes, et les enfants de moins de cinq ans aussi dans la région de lest ados, mais où le programme sera pour les réfugiés, les populations Autochtones, les femmes enceintes, les enfants de moins de cinq ans dans la région de l’Ouest, à Bafoussam  les orphelins et les personnes handicapées, les femmes enceintes  et les enfants de moins de cinq ans en milieu urbain.

Lyse Davina Nguili