Patou Madeleine : Ambassadrice du bien-être des jeunes et des personnes âgées

Femme au foyer, fondatrice de l’Association pour l’autonomisation et la lutte contre les maladies (ASAFEM), elle a fait de la cause des vulnérable, son cheval de bataille.

Par Jean Besane Mangam

La jeunesse dans la région de l’Adamaoua en général et dans la ville de Ngaoundéré en particulier se laisse très souvent emporter par la consommation de la drogue sous toutes ses formes. A côté d’une jeunesse désoeuvrée, les personnes âgées croupissent sous la pauvreté et la marginalisation. Pour apporter sa contribution à la résolution de ces problèmes et allégées les souffrances de ces couches, Madeleine Patou a tronqué ses ensembles tailleurs de juriste pour se mettre au service des autres. L’Association pour l’autonomisation et la lutte contre les Maladies (ASAFEM) se positionne comme rempart contre ces diverses pathologies. Avec des objectifs clairement définis, elle mène la bataille de « La poursuite du bien-être, du développement de la santé auprès des jeunes adolescents; femmes  enceintes personnes troisième âges pour contribuer aux résultats du point de vue nationale » affirme-t-elle avec conviction.

Sa passion pour l’humain l’a conduit à mener des activités aussi bien en ville qu’en dehors de cette dernière. « Dans le cadre du fonds mondial j’ai participé aux dépistages communautaire en direct ion des adolescents jeunes et les usagers de drogue et usagers de drogue injectable » confirme-t-elle. Les campagnes et les enquêtes en vue de parvenir à un monde sans drogue ne se comptent pas dans le bloc-notes de cette mère d’enfants.

La Journée Internationale des Droits de la Femme est une occasion idoine de célébrer la gent féminine, surtout celles qui ont décidé de se mettre au service de leur prochain pour un monde meilleur.